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Recherche par lecteur : Serge Cantero

33 résultats. Page 2 sur 2.

Lu par:Serge Cantero
Durée:1h. 59min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32869
Résumé: Un trentenaire désabusé traîne son spleen à La Havane, entre son bureau et le Malecón... L'espoir se fait rare, la vie est un disque rayé. Rhum, salsa, tabac, et parfois un détour chez la Russe du neuvième étage. Il fait une chaleur criminelle et la révolution semble s'être oubliée au milieu du gué. Seule la mer, au loin, promet encore quelque chose... Canek Sánchez Guevara, petit-fils du Che, fait vibrer Cuba comme jamais : le désenchantement s'écrit dans une langue intense, hypnotique, et la crise des balsas est prétexte à un formidable hymne à la liberté. [Source : Site de l'éditeur]
Lu par:Serge Cantero
Durée:13h. 26min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:31336
Résumé: À Lisbonne, un policier a reçu pour mission de neutraliser les « actes anti-sociaux » d'une bande d'adolescents dont la base de repli se situe dans le quartier du Premier Mai. Dans le rapport destiné à sa hiérarchie, il mêle des appréciations personnelles et politiques, des confidences plus intimes. Au fil des chapitres, une vingtaine de voix se succèdent et plongent le lecteur dans cette cité du Premier Mai délabrée, ravagée par les problèmes sociaux.
Lu par:Serge Cantero
Durée:2h. 56min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:20740
Résumé: Etre invité aux dîners du vendredi chez la comtesse Fritouille est un immense honneur : convives élégants, nourriture végétarienne et délicate, conversation raffinée. Mais certaines réceptions peuvent être surprenantes... Surprenants aussi ce juge d'instruction qui veut prouver à tout prix qu'Ignace K est mort assassiné, ou Alice, jeune fille vierge, qui utilise son innocence avec une naïveté dérangeante. Avec un humour décapant, Gombrowicz nous fait pénétrer dans un monde où la fable grimaçante côtoie le grotesque et la réalité frôle sans cesse l'absurde.
Lu par:Serge Cantero
Durée:7h. 31min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20736
Résumé: « Encore une remarque, même si elle me fait soupçonner de mégalomanie. Et si La pornographie était une tentative pour renouveler l'érotisme polonais ?... Une tentative pour retrouver un érotisme qui correspondrait davantage à notre sort et à notre histoire récente - faite de viols, d'esclavage, de luttes de chiots -, une descente vers les obscurs confins de la conscience et du corps ? Je suis de plus en plus porté à présenter les thèmes qui me paraissent les plus complexes sous une forme simple, naïve même. La pornographie est écrite un peu à la manière d'un "roman de province" polonais ; c'est comme si je véhiculais sur un char à banc vieillot du venin "dernier cri" (cri de douleur, pas à la mode, cela va de soi). Ai-je raison de penser que plus la littérature est téméraire et d'un accès difficile, plus elle devrait retourner vers des formes anciennes, faciles, auxquelles les lecteurs se sont habitués ? » Witold Gombrowicz (1962).
Lu par:Serge Cantero
Durée:11h. 34min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:20681
Résumé: Trois histoires s'enchevêtrent et se recoupent : une histoire de pirates libertaires qui instaurent l'« Utopie » (où chacun vit comme bon lui semble, sans préjugé ni contrainte) dans une Amérique reconquise, l'histoire du détective privé Clem Snide à la recherche des jeunes garçons coupés en morceaux pour les besoins de la transplantation humaine, et l'histoire de ces six cités écarlates dont le nom magique renferme le secret du voyage dans le temps et l'espace. La narration alterne deux points de vue qui font voyager le lecteur entre le XVIIIe siècle, époque à laquelle les pirates abordent le continent américain par le sud, et l'époque actuelle. « Les Cités de la nuit écarlate » est le premier volume de la dernière trilogie composée par Burroughs. Publié pour la première fois en 1981, il précède « Parages des voies mortes » et « Les Terres occidentales ».
Lu par:Serge Cantero
Durée:5h. 25min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:20376
Résumé: Le chroniqueur Haldas raconte ici les débuts du football genevois, animant avec l'art qui lui est propre ses réminiscences où beaucoup se retrouveront.
Lu par:Serge Cantero
Durée:5h. 48min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:20217
Résumé: Chez un auteur de l'importance de Hrabal, l'intérêt des premiers textes est grand : on y fait la connaissance d'un écrivain qui n'avait pas encore appris à ménager le lecteur et le pouvoir. Le Hrabal des années d'après guerre, d'avant le régime communiste et sa censure avec laquelle il a dû, de son propre aveu, ruser pour pouvoir continuer à écrire. Toute son oeuvre future se profile dans les treize nouvelles et le poème inédits présentés dans ce recueil : amateur des palabres de bistrot, habile mélangeur des genres, irrévérencieux, formidable raconteur d'histoires, tel apparaît déjà l'écrivain qui nous a laissé Moi qui ai servi le roi d'Angleterre, Une trop bruyante solitude, Les Noces dans la maison ou Les Millions d'Arlequin.
Lu par:Serge Cantero
Durée:1h. 7min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20201
Résumé: Le livre de Stéphane Blok, Le Ciel identique, est un roman. Mais il l'est par défaut. En effet, de par sa longueur, il pourrait être une nouvelle. Et pourtant, cela ne tient pas la route. Certes il ne comporte pas plus de nonante pages et nombre d'entre elles sont loin d'être noircies de mots, mais il n'est pas condensé comme une nouvelle devrait l'être, en principe. Au contraire il serait plutôt expansé, comme s'il était la caisse de résonance des trois questions ouvertes que représentent ses trois chapitres et ses trois épilogues en un seul. Comme c'est bien une oeuvre de fiction, il n'est pas d'autre genre que le roman qui puisse lui être attribué. Comme l'esprit humain a besoin de catégoriser pour se rassurer, il affuble un qualificatif accolé au mot roman pour lui trouver une identité. Et celui qui vient au même esprit humain, en l'occurrence, pourrait bien être poétique. Ce qui tombe bien puisqu'il est suivi de quelques poèmes, intitulés Chants entre les immeubles. Francis Richard
Lu par:Serge Cantero
Durée:2h. 46min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:20148
Résumé: Spécialiste de Zhuang Zi et de la philosophie chinoise, Jean-François Billeter nous invite dans ce petit ouvrage à une réflexion féconde et profonde, à un "changement de paradigme". Le mot est à la mode, mais il est ici employé au sens plein. En effet, il s'agit de changer la manière dont nous pensons, agissons, dont nous concevons le rapport entre notre corps et notre esprit. Pour Billeter, il ne faut plus voir l'esprit comme ce qui fait agir le corps, mais le corps comme ce qui fait advenir l'action, la pensée, et la transcendance. Il n'est pas question ici de revenir au dualisme, fût-il inversé, mais de concevoir le corps comme une activité : "L'esprit ne descend plus sur nous, mais se forme en nous, de bas en haut. La dimension d'inconnu est au fond du corps et de son activité, elle n'est plus quelque part au-dessus" (p. 77). Il n'y a donc plus de transcendance, mais simplement moi, avec ma part de mystère, d'inconnu que j'ignore moi-même, et qu'il me faut laisser advenir. À travers les notions d'activité et d'intégration, associées au travail du corps, l'auteur nous invite à repenser la manière dont les idées nous viennent, la souffrance psychique, la religion ou le rapport au temps. Ce qui "prend" le lecteur dans ce livre, c'est la manière dont Jean-François Billeter décrit la naissance en nous de gestes (verser du vin dans un verre), d'idées ("L'idée vient en parlant", comme l'écrit Kleist), d'actions (Que vais-je faire aujourd'hui ?), d'une manière si précise qu'elle amène vraiment à s'interroger sur cet "avènement" de la pensée, comme production de l'activité du corps. (A. B. Esprit, novembre 2012)
Lu par:Serge Cantero
Durée:2h. 50min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:19948
Résumé: Car la question première pour Billeter, ce n'est pas comment mieux connaître la Chine, mais y a-t-il un autre modèle, une autre civilisation possible que celle de rationalité économique qui, dès l'Europe de la Renaissance, s'est étendue au monde entier par réaction en chaîne ? A cette interrogation, Jean François Billeter donne une réponse pessimiste mais non résignée. Il ne souhaite pas que l'on s'accroche au culturalisme, à la recherche de cette identité qui rend superficiellement différenciées les cultures sur fond de rationalisme économique dominant. Il lui faut donc expliquer pourquoi la Chine n'est pas une alternative, rappeler les catastrophes des révolutions maoïstes et le coût humain du Grand Bond, des Cent Fleurs et de la révolution culturelle. Et aujourd'hui, où la modernisation est moins brutale, les ravages de la corruption, de la bureaucratie, de la destruction des structures familiales ou de l'environnement urbain. Mais la question de l'originalité constitutive d'un peuple et, en l'occurrence, celle du peuple chinois n'est pas éludée pour autant. (domainepublic.ch)
Lu par:Serge Cantero
Durée:10h. 17min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19942
Résumé: Il y a trois mois, en mai 2013, un colis en provenance du commissariat de Landshut en Basse-Bavière m'est parvenu. Son contenu a ravivé quelques souvenirs : la rencontre avec Karl vont List à Berlin-Est en 1982 ; nos retrouvailles dans le Berlin réunifié de l'été 2000 ; la disparition de son ami, fuyant vers l'Ouest par la Tchécoslovaquie ; l'existence supposée d'un institut de recherches et d'expériences sur cobayes humains, au cœur des forêts de Bavière. Le commissaire souhaite faire la lumière sur l'identité d'un corps desséché, trouvé dans une cabane d'ermite. À ses côtés, ce paquet portant mon adresse. L'estimation de l'âge du mort pose quelques problèmes aux légistes : certains organes auraient près de cent ans, tandis que d'autres semblent en avoir à peine seize. Rêves, confessions, fantasmes, hypothèses ou interrogations se chevauchent et s'entremêlent dans cet assemblage de documents trouvés, fatalement fragmentaires ; de leur réunion naît peu à peu un portrait en creux d'un vingtième siècle, annoncé comme lumineux, mais dont le pathétique déclin semblait programmé.
Lu par:Serge Cantero
Durée:59min.
Genre littéraire:Poésie
Numéro du livre:19930
Résumé: Je peux affirmer aujourd'hui que je t'ai aimée bien que tu fusses à des kilomètres de moi. Ah si le monde était aussi compliqué qu'on veut bien le dire ! Mais tout est limpide et l'esprit appartient au délire. Alors je t'ai détestée calmement parce que tu étais à des kilomètres de moi et que tu me poursuivais jusque dans mes regards. Ah si les regards étaient des sourires. Mais les regards sont remplis de pensées limpides et débordent du regard des autres qui vous regardent, et, les yeux dans les yeux, je t'aime encore.
Lu par:Serge Cantero
Durée:1h. 11min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19865
Résumé: Auteur, compositeur, chanteur, photographe et metteur en scène, Serge Gainsbourg a écrit le roman d'un peintre, Evguénie Sokolov. Un peintre génial et solitaire. Mais quel est le secret de son génie, de ce vibrato du dessin, de cette manière " sismographique " qui fait sa gloire ? C'est ce mystère que révèle le roman. Un style froid et précis ajoute à la provocation d'un récit qui expose le destin le plus insolite que l'on puisse imaginer. Sarcastique et drôle, pour raconter une tragique histoire, Serge Gainsbourg nous propose en fait une " allégorie ".